Un vieil homme de plus de 80 ans, cardiaque, décide de retrouver la femme qu’il a aimée il y a 60 ans. Accompagné d’une joyeuse bande d’octogénaires, aidé par son petit-fils et sa copine infirmière, le groupe se déplace dans un minibus.
Une course poursuite contre le temps qui passe, contre les erreurs du passé, contre l’envie d’aller au bout. Une aventure humaine pleine de rebondissements et de douleurs musculaires.
Comment est née l’idée du film ?
Mon grand-père a perdu sa femme et son fils la même année. Cette perte tragique lui a pesé lourdement. Il restait cloitré chez lui, sans ouvrir les volets, sombrait dans les idées noires, parfois même n’ouvrait pas la porte pour me recevoir tant sa peine était grande et son désespoir profond. Cette période de dépression chronique dura 5 ans jusqu’à un jour de printemps. Alors que je rendais visite à mon grand-père, quelque chose avait changé. Il m’accueillit bras ouvert. Enfin, il était heureux de vivre de nouveau, heureux de me voir et surtout heureux de me le dire. Comme une résurrection. Et comme depuis fort longtemps, je n’avais pas vu mon « pépé » dans cet état, j’accueillais sa joie avec un plaisir non dissimulé. En somme, comme une digestion tardive, le deuil enfin accepté. Solennellement, mon grand-père me demanda me de m’asseoir dans son vieux canapé inconfortable. Il me demanda de l’écouter parce qu’il avait une chose importante a me faire savoir. Bien entendu, je n’avais pas la moindre idée de ce que me voulait mon grand-père. Il remonta dans son enfance, juste les années d’avant-guerre. Il me raconta qu’à cette époque, il fréquentait en tout bien tout honneur une jeune fille qui livrait des fleurs. Leurs relations étaient fortes, ils auraient pu entamer une vraie histoire mais plus jeune que la jolie demoiselle, il était impossible à l’époque que leur aventure ne perdure.
Quelques années ont passées, mon grand-père a rencontré ma grand-mère, fondé un foyer, et donné vie a deux enfants. Cet amour de jeunesse, mon grand-père ne l’a jamais oublié.
Comme tout a chacun, ces amours sont les plus fortes, les plus intenses et on a toujours en suspens au fond de notre esprit ces premières aventures amoureuses qui nous ont remués et fait connaitre nos premiers émois.
Mon grand-père avait décidé de retrouver cet amour de jeunesse. Il me conta ces recherches et me dit qu’il l’avait appris ou elle demeurait, qu’il l’avait contacté, qu’il était allé lui rendre visite. Ces sentiments encore très fort Dans son coeur était réciproque, et que, 60 ans après, leur première rencontre, ils se revoyaient régulièrement et flirtait de nouveau ensemble.
Le plus étonnant, est que pendant cette conversation, mon grand-père me rappelait qu’il avait toujours aimé ma grand-mère et qu’il n’avait jamais eu d’aventure pendant sa longue période de vie avec elle. Il avait peur de me blesser, de me faire du mal. Ce qu’il attendait de son petit-fils, c’était mon approbation. Il ne voulait pas me faire de mal. Il ne voulait pas que je puisse une seule seconde, imaginer que j’avais remplacé ma grand-mère par une autre.
Ce moment-là est un des plus grands moments d’émotions que j’ai eu l’occasion de connaître.
J’étais fier de mon grand-père et ému d’apprendre qu’enfin ses prochaines il allait retrouver une envie de vivre.
Et pendant trois ans avant cette triste année de canicule ou elle fut vaincu par un cancer foudroyant, ils se sont vu, aimés et ont ensemble retrouvés des instants de joie, une seconde jeunesse.
| Intention de l'auteur : | Mettre en scène des comédiens qu’on ne voit plus à cause de leur âge vivre un road movie de fin de vie. |
| État d'avancement : | En cours de réécriture |
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Ce scénario a été écrit en collaboration avec Guillaume Bourg réalisateur. http://www.bourgaudiovisuel.com/
| Intention de l'auteur : | La lucarne est née d’une envie personnelle de réaliser un premier court-métrage. Quatre éléments me paraissent indispensables. Un sujet sérieux : l’autisme, une ambiance pesante : un thriller psychologique, un huis clos pour une question de budget et une fin à couper le souffle digne des meilleurs polars. Après plusieurs moutures, j’avais enfin le script. Un script qui est tombé dans les mains d’un jeune réalisateur et qui a décidé de développer l’histoire pour en faire un long-métrage. Après 3 mois de collaboration assidu le script de la lucarne venait de voir le jour. |
| État d'avancement : | En recherche de production |
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Marc Morgan est un mort en sursis. Il vit depuis deux ans une balle dans la tête, risquant la rupture d’anévrisme à tout instant. Il ne se souvient pas qu’il a été agressé un soir par trois inconnus dont l’un d’eux viola et tua sa petite amie, Chloé Carmin. Alors qu’il vient de terminer un traitement expérimental, Marc subit de violentes migraines jusqu’à l’évanouissement. Lors de ces crises, il se retrouve dans un monde fantasmagorique où est prisonnière Chloé. A travers d’éprouvantes énigmes, elle l’aide à retrouver sa mémoire, ses assassins et la terrifiante vérité.
Scénario écrit en collaboration et sur une idée originale de Jean-Marc Plumard.
| Intention de l'auteur : | Des idées noires, une déprime… et une histoire noire sous forme de polar à écrire… avec obligation d’accoucher d’une histoire noire pour survivre. |
| État d'avancement : | Teaser réalisé par Luis lobaton. En recherche de production. |
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Prenez une quarantaine de personnages, un restaurant réputé, mettez-y une dose d’euphorie collective, saupoudrez d’une pincée d’histoires intimes, arrosez d’une louche de rire et de bonne humeur et vous obtiendrez une recette du chef explosive et truculente appelée Fouille-mets.
Un soir dans un restaurant, on suite les conversations de chacun des convives. Fouille-mets est donc et surtout une peinture de personnages et de dialogues fruités à souhait.
Ce scénario a été finaliste au Prix Junior du meilleur Scénario 1998 (Festival de Paris)
http://www.prix-scenariste.org/GPMS/Plaquette_GPMS_PJMS_2007.pdf
| Intention de l'auteur : | Pour ce premier scenario, l’idée principale est de développer l’idée simple mais délicate du lieu unique afin de se concentrer sur des dialogues justes, corrosifs et acerbes. Un diner au restaurant : c’est la rencontre de personnages hauts en c |
| État d'avancement : | En recherche de réalisateur qui aime les dialogues, et les moyens de les mettre en bouche |
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Un tueur en série défie le capitaine Josselin de l’arrêter pour ces futurs crimes. Le psychopathe affirme avoir choisi le capitaine pour ses qualités de flics irréprochables et toutes les 24 heures, il tuera de nouveau. Pour que son jeu, comme il le dit, soit équitable, le meurtrier laissera soigneusement des indices sur place permettant de remonter la piste - des indices ayant toujours pour référence des jeux de notre enfance.
Le capitaine Josselin, aidé d’un jeune flic impétueux démarre l’enquête. Dans un commissariat, il est entouré de collègues tantôt flics tantôt ripoux, et mêle une histoire personnelle compliquée et un alcoolisme notoire… L’enquête piétine. Les meurtres s’enchainent et l’enquête lui ait retiré.
Le tueur en série ne supporte pas que le jeu change de main, alors pour remettre le capitaine Josselin dans la course, il s’arrange pour kidnapper le propre fils de Josselin. Joss n’a plus le choix : trouver, analyser et comprendre les indices laissés par le tueur.
Ce scénario a été écrit en collaboration avec Stéphane Roquet, réalisateur, et Sandrine Périgeat.
| Intention de l'auteur : | L’idée essentielle est d’écrire une intrigue complexe mais plausible, aussi tordue que l’esprit retord d’un tueur en série joueur et pervers. Mais c’est aussi une enquête policière d’un justicier parmi des policiers. |
| État d'avancement : | En cours de réécriture. |
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